terça-feira, 22 de dezembro de 2009

O amanuense do clic

É clicar, é clicar. Agora é que ia ser o finalmente escrever...por cima de todos os demais, portugueses, franceses, ingleses internacionais. Dos escritores que gostava, "gostava", aclamava. Os outros, fora e fora. Todos dos grandes, e nem sabia que com pouco, um pequeno talento a tempo, muitos já tinham feito suas vidas, entretendo e accionando tipografias.

E nem sequer esse pequeno talento vivo me competia. Amanuense falhado, que agora dava clics e clics, para descobrir clicando o que era na verdade: um auto-adiado.

Era naquelas iras descabeladas

nos ares de desprezo por todos e mais alguns, no olho rijo, que se revelava o que realmente ia no coração...Não nas boas intenções ocasionais e nos risos, e sonhos e mais sonhos...Mas nunca desconfiei. Ou desconfiei, mas era tarde para conter a verdade reprimida. Uma hiper-hipocrisia perdida no oceano de si mesma...A esbracejar em debilidades e fraquezas, consolado por compreensão dos que compreendiam, mas nada conseguiram para me levar a admitir o evidente.

Esta é que é a verdade (mentira) final deste blog, e na maior inconsciência

Copiado...

Pensamento/Reflexão

O Sofrimento do Hipócrita Ter mentido é ter sofrido. 0 hipócrita é um paciente na dupla acepção da palavra; calcula um triunfo e sofre um suplício. A premeditação indefinida de uma ação ruim, acompanhada por doses de austeridade, a infâmia interior temperada de excelente reputação, enganar continuadamente, não ser jamais quem é, fazer ilusão, é uma fadiga. Compor a candura com todos os elementos negros que trabalham no cérebro, querer devorar os que o veneram, acariciar, reter-se, reprimir-se, estar sempre alerta, espiar constantemente, compor o rosto do crime latente, fazer da disformidade uma beleza, fabricar uma perfeição com a perversidade, fazer cócegas com o punhal, por açúcar no veneno, velar na franqueza do gesto e na música da voz, não ter o próprio olhar, nada mais difícil, nada mais doloroso. 0 odioso da hipocrisia começa obscuramente no hipócrita. Causa náuseas beber perpétuamente a impostura. A meiguice com que a astúcia disfarça a malvadez repugna ao malvado, continuamente obrigado a trazer essa mistura na boca, e há momentos de enjôo em que o hipócrita vomita quase o seu pensamento. Engolir essa saliva é coisa horrível. Ajuntai a isto o profundo orgulho. Existem horas estranhas em que o hipócrita se estima. Há um eu desmedido no impostor. 0 verme resvala como o dragão e como ele retesa-se e levanta-se. 0 traidor não é mais que um déspota tolhido que não pode fazer a sua vontade senão resignando-se ao segundo papel. É a mesquinhez capaz da enormidade. 0 hipócrita é um titã-anão.

Victor Hugo, in "Os Trabalhadores do Mar"

Data: 2007/09/07 09:00
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1. Hipocrisia

sexta-feira, 9 de outubro de 2009

A literatura em abismos (Paris) em dia de Nóbél à là page

Notre Dame, fotogramas de "Karaoke" de Dennis Potter

Le Gouffre

Pascal avait son gouffre, avec lui se mouvant.
— Hélas! tout est abîme, — action, désir, rêve,
Parole! Et sur mon poil qui tout droit se relève
Mainte fois de la Peur je sens passer le vent.

En haut, en bas, partout, la profondeur, la grève,
Le silence, l'espace affreux et captivant...
Sur le fond de mes nuits Dieu de son doigt savant
Dessine un cauchemar multiforme et sans trêve.

J'ai peur du sommeil comme on a peur d'un grand trou,
Tout plein de vague horreur, menant on ne sait où;
Je ne vois qu'infini par toutes les fenêtres,

Et mon esprit, toujours du vertige hanté,
Jalouse du néant l'insensibilité.
— Ah! ne jamais sortir des Nombres et des Êtres!

Charles Baudelaire


- Voilà !… Blaise Pascal !… vous vous souvenez de Blaise
Pascal ?…
- Oui !… oui !
- La révélation qu'il a eue sur le Pont de Neuilly?… ses chevaux
emballés ?… son carrosse versé ?… une roue emportée ?… qu'il a bien
failli boire la goutte ?
- Ah, oui !… ah, oui
- Vous vous souvenez ? »

Il était assis… il tenait plus… il se relevait… il se retripotait
l’entrejambe… je l’empêchais d'aller !… mais non !… mais non !
« Allez-y !
Ah, oui ! Blaise Pascal ! »
Il se souvenait
« Celui des Pensées ?
- Exactement ! exactement, Colonel ! celui [98] qui voyait plus
qu'un gouffre ! toujours un gouffre !… depuis ce jour-là !… du. coup, de
la frayeur !… le gouffre à sa droite !
- Oui, à sa droite ! »
Il répétait tous mes mots…
« Allez pisser, Colonel !
- Oh non ! oh non ! non !
- Bon ! comme vous voulez ! le gouffre à sa droite !

- A sa droite !
- Et puis en l’air, Colonel ! en l’air après ! Les espaces infinis
m'effraient ! de Pascal aussi, Colonel ! une sacrée pensée de Pascal !…
vous vous souvenez ?
- Oui ! oui ! oui !
– Ça y avait transformé la vie ce terrible accident du pont !… de
fond en comble ! libéré le génie ! son génie !
- Ah?
- Oui, Colonel !… moi ! regardez-moi, Colonel ! je suis un type
dans le genre de Pascal…
- Pas possible ?
- Si ! si !… je vous le dis !… nom de Dieu ! regardez-moi ! »
...

j'ai éprouvé moi
aussi !… exactement !… ou à peu près… le même effroi que Pascal !… le
sentiment du gouffre !… mais moi c’est pas au pont de Neuilly… non !
CÉLINE : Entretiens avec le Professeur Y
ça m'est arrivé au métro… devant les escaliers du métro… du Nord-
Sud !… vous entendez Colonel ?… du Nord-Sud !… la révélation de mon
génie, je la dois à la station « Pigalle » !…
- Comment ?… comment ?… »
...

« Donc, Colonel, vous m’écoutez ! je vous disais qu'en ce tempslà…
non ! je vous l’ai pas dit !… je vous le dis !… je menais une vie
agitée… j'avoue… assez agitée… je fonçais d'un bout à l'autre de Paris,
pour un oui… un non… à pied, en métro, en voiture… oui !… voilà
comme j'étais… pour une dame qui me voulait du bien… pour une
dame qui m'en voulait pas… et pour des raisons plus sérieuses… ah,
oui !… plus sérieuses !… je consultais ici et là… en particulier, je devais
me rendre à Issy presque chaque matin, pour une consultation
d'usine… et je demeurais à Montmartre !… vous vous rendez compte !…
chaque matin !… Pigalle-Issy ! l'autobus ?… une fois, deux fois… ça
va !… mais tous les jours ? ça fait réfléchir : tous les jours ! je vous
assure !… la meilleure façon ?… métro ? vélo ? autobus ?… je prenais le
métro ?… j'y allais en vélo ?… ou à griffe ?… oh, là que j'ai hésité !…
tergiversé… rerenoncé… le noir métro ? ce gouffre qui pue, sale et
pratique ?… le grand avaloir des fatigués ?… ou je restais [101] dehors ?
je bagottais ? be not to be ?… l’autobus ?… l’autobus ?… cet angoissé
monstre grelottant hoquetant… bégayeur à chaque carrefour ?… qui
perd des heures à être poli… à pas écraser la rombière… à attendre que
dessous son pare-choc se dépêtre le triporteur venu s'y foutre !… père
de famille de six enfants… ou je fonçais à pied ?… par les rues ? une ! !
deux ! !… Issy à pied ? sportif de sportif ? c'était le dilemme ! les
profondeurs ou la surface? ô choix d'Infinis ! la surface est pleine
d'intérêt… tous les trucs !… tout le Cinéma… tous les plaisirs du
Cinéma !… pensez !… pensez !… les minois des dames, les postères des
dames, et toute l'animation autour ! les messieurs qui piaffent !…
l’éclaboussernent des vanités !… la concentration des boutiques !… les
bariolages, les étalages !… milliards à gogo !… le Paradis en
« étiquettes » !… à tant l’objet ! à tant le kilo !… femmes ! parfums !
comestibles de luxe ! les convoitises !… « Mille et trente-six Nuits »
chaque vitrine !… mais, attention ! ensorcellures ! vous voilà film…
transformé film ! film vous-même ! et un film c’est que des [102]
anicroches ! de bout en bout !… qu’anicroches !… pertes de temps !
carambolages !… cafouillades !… mélimélo !… flics, vélos, croisements,
déviations, sens, contre-sens !… stagnation !… zut ! Boileau s'y amusait
encore… il serait écrasé de nos jours… foutre des rimes !… le Pascal,
dans une « deux chevaux », je voudrais le voir un peu du Printemps à la
rue Taitbout !… c’est pas un gouffre qu'il aurait peur !… vingt abîmes !
la Surface est plus fréquentable !… la vérité !… voilà !… alors ?… j'hésite
pas moi !… c’est mon génie ! le coup de mon génie ! pas trente-six
façons !… j'embarque tout mon monde dans le métro, pardon !… et je
fonce avec : j'emmène tout le monde !… de gré ou de force !… avec
moi !… le métro émotif, le mien ! sans tous les inconvénients, les
encombrements ! dans un rêve !… jamais le moindre arrêt nulle part !
non ! au but ! au but ! direct ! dans l’émotion !… par l’émotion ! rien
que le but : en pleine émotion… bout en bout !
- Comment ?… comment !
- Grâce à mes rails profilés ! mon style profilé !
- Oui !… oui !…
- Exprès Profilés !… spécial ! je les lui fausse ses rails au métro,
moi ! j'avoue !… ses rails rigides !… je leur en fous un coup !… il en faut
plus !… ses phrases bien filées… il en faut plus !… son style, nous
dirons !… je les lui fausse d'une certaine façon, que les voyageurs sont
dans le rêve… qu'ils s'aperçoivent pas… le charme, la magie, Colonel ! la
violence aussi !… j'avoue !… tous les voyageurs enfournés, bouclés,
double-tour !… tous dans ma rame émotive !… pas de chichis !… je
tolère pas de chichis ! pas question qu'ils échappent… non ! non !
– Vous voyez ça ! vous voyez ça !
- Et toute la Surface avec moi hein ? toute la Surface !
embarquée ! amalgamée dans mon métro ! tous les ingrédients de la
Surface ! toutes les distractions de la Surface ! de vive force ! je lui
laisse tien à la Surface !… je lui rafle tout !…
- Ah !… ah !
- Non, Colonel !… non, parfaitement ! tout dans mon métro
émotif !… les maisons, [104] les bonhommes, les briques, les
rombières, les petits pâtissiers, les vélos, les automobiles, les
midinettes, les flics avec ! entassés, « pilés émotifs » !… dans mon
métro émotif ! je laisse rien à la Surface !… tout dans mon transport
magique !…
- Ah?… ah ?…

- A la violence !… vous êtes le magicien ? oui ?… non ? alors que
votre charme opére !… certains lecteurs récalcitrent ? la trique,
CÉLINE : Entretiens avec le Professeur Y
— 47 —
Colonel ! qui préfèrent le cinéma ? la trique !… qui préfèrent le
chromo ? la trique !… vous êtes le maître des sortilèges… vous leur
prouvez les enfermant bouclant double-tour ! vous entendez être
obéi !… le langage parlé à travers l’écrit !… votre invention ! pas
d'histoires ! « Pigalle-Issy » sans obstacle !… pas de considérations
permises ! dans l’enchantement !… vous tolérez pas d'esprits forts ! de
dialecticiens par exemple ! plus un carrefour, plus un feu jaune, plus un
flic, plus une paire de fesses à la traîne ! vous me comprenez, Colonel ?
- Oui !… oui !
- Plus un camion qui vous harponne ! [105] l'artiste que vous
êtes ! votre métro s'arrête à rien !… vous vous êtes profilé un style !
– Un style ? un style ?
– Oui, Colonel !… le style: au plus sensible des nerfs !
- C'est de l'attentat !
- Oui, je l'avoue !
- Ah, par exemple ! vous emmenez tout?
- Oui, Colonel… tout !… les immeubles de sept étages !… les
féroces grondants autobus ! je laisse rien à la Surface ! je lui laisse rien !
ni colonnes Morris, ni les demoiselles harcelantes, ni mégotiers sous les
ponts ! Non ! j'emmène tout !
- Les ponts avec ?
- Les ponts avec !
- Rien vous empêche ?…
- Non, Colonel !… à l’émotion, Colonel !… rien qu'à l’émotion !…
l’haletante émotion !
- Oui, mais… oui, mais…
- Y a pas d'« oui mais » !… j'embarque tout !… j'enfourne tout
dans ma rame !… je vous répète ! toutes les émotions dans ma [106]
rame… avec moi !… mon métro émotif prend tout mes livres prennent
tout !
- Ah, par exemple ! par exemple ! Et les étrangers ? les écrivains
étrangers ?
- Ils existent pas ! ils sont encore à déchiffrer Madame Bovary, la
scène du fiacre… et Boule de Suif !… qu'ils démarquent horriblement
mal… ils iront jamais plus loin… leur sensibilité est pas faite… et sera
jamais faite, je crains… ils vont peut-être vite en avion… mais dans les
Arts ?… qu'est-ce qu'ils trimbalent !
- Pourtant on parle d'eux !… on les traduit !…
- C’est la formidable escroquerie !… qu'on supprime leurs agences
de presse, leur fantastique publicité, leur phénoménal culot, ils
existeront plus !…
- Mais leurs lecteurs ?
- Les lecteurs français sont snobs, gogos et serviles…
ils sont
bluffés !… et ils sont contents d'être bluffés ! ils trouvent des écrivains
d'ailleurs, qu'écrivent tous comme les Delly… les voilà heureux !… et
fiers ! l’auteur le plus lu. dans tous les pays du monde, le plus [107]
traduit, dans tout l’univers : c’est Delly ! Colonel ! Delly !
- Les langues étrangères tout de même ?
- Il n'y a qu'une scule langue, Colonel, en ce monde
paracafouilleux ! une seule langue valable ! respectable ! la langue
impériale de ce monde : la nôtre !… charabias, les autres, vous
m'entendez ?… dialectes bien trop tard venus !… mal sapés, mal léchés,
arlequinades ! rauques ou. miaulants à-peu-près pour rastaquouères !
zozoteries pour clowns ! voilà, Colonel !… je sais ce que je cause ! et
j'admets pas la discussion !
- Vous êtes un esprit borné !…
- Pas borné… impérialiste, Colonel ! Comment que j'ai conquis la
Surface ! vous avez vu ? que j'ai tout saisi ? vous avez vu ? vous avez
remarqué ? tout embarqué dans mon métro !… qu'est-ce que je lui
laisse à la Surface ? la plus pire drouille du cinéma !… avec les langues
étrangères donc ! les traductions !… retraductions de nos pires navets !
qu'ils les emploient pour leurs « parlants » !… en plus de la
psychologie ! le pataquès psychologique !… toute la chierie
philosophique, toute l’horreur photographique, toute la Morgue des
fesses figées, cuisses figées, nénés opérés, nez raccourcis, et les kilos de
cils !… oui des kilos ! lourds ! gras ! rouges ! verts »
Il m'écoute pas !

segunda-feira, 21 de setembro de 2009

Podre e Poder


É podre! Uma exclamação depreciativa que entrou recentemente no linguajar urbano português. Antes o podre só entrava em expressões faladas com o chavão "podre de rico". Este novo "É podre" surge num rol de novidades a par de "É um cromo", "É seca!", "É uma seca" e mais um conjunto lexical que mete às vezes expressões do inglês como "Man!", e mais...

"Podre" e "poder" têm a curiosa partuclaridade de serem anagramáticas, as mesmas letras distribuídas de maneira diferente. Em som temos "Pô" numa e "Pu", na outra, e "dre"/"der". Quase apetece fazer um exercício de trocadilho e inventar o "Pudre", ou o Pôder".

É célebre e já um lugar comum uma frase que surge pela primeira vez escrita por Lord Acton em inglês, "Power tends to corrupt, and absolute power corrupts absolutely" em carta de Abril de 1897. Em português e com podre, dava: "O poder tende a ser podre e o poder absoluto a ser absolutamente podre". A corrupção é o processo que conduz ao apodrecimento, ao estado de podre. A legitimação desta frase em português provém da expressão já referida e homologada "ser podre de rico".

Claro que se entende o "podre" aqui como uma aumentativo, podre em vez de "muito, muito". Mas muito mais lógico seria dizer "podre de pobre", e ninguém diz. Há até os "podres", que são os defeitos, os vícios, especialmente os imaterais, espirituais. A riqueza seria assim o factor de podre, quanto maior seja. Mas também se aceita bem escrever sobre "os podres do poder". Se essa de Queiroz num comentário à carta Lord Acton, um seu contemporâneo, usasse essa expressão ninguém levava a mal.

Que a riqueza absoluta dê em podre, parece provável. O Poder absoluto, ainda que possa inventar riquezas, ou adquire-las, também destrói muito, riquezas e não só. Qual é o balanço entre o que o poder cria e destrói, entre o saudável e o podre em termos de poder? Vale a pena assim desbravar os anagramas de podre e poder, nas letras, e jogar com as sílabas, para tentar erguer pela ponta um véu que só no português se usa e vai usando ao correr da fala.

sexta-feira, 18 de setembro de 2009

Aspergir nuvens com água salgada, para ficarem branquinhas







Diz o D. Francisco Manuel de Melo no seu Hospital das Letras que as nuvens "bebem as àguas salgadas do Oceano..."e adiante continua: "O sal há-de ficar no coração das nuvens e a água se há-de estilar à terra". Ora as núvens não retém sal, como julgava o D. Manuel (que era sábio na época) porque nem sequer o bebem quando incorporam e se fazem de vapor de água.

Mas os efeitos do aquecimento global, em particular nas áreas polares, parece ser de tal modo grave que está em estudo uma experiência engraçada: aspergir com água do oceano nuvens chamadas os estrato-cúmulos marinhos, que se formam sobre os oceanos, e assim aumentar a concentração das gotículas o que torna as nuvens mais brancas e mais reflectoras.

Parecia ao D.Manuel uma providência suprema as nuvens reterem o sal quando do mar colhiam água, senão as chuvas salgariam as terras e semeariam desolação. Nos tempos que correm providencial será se o homem salgar as nuvens, nas devidas proporções, e assim afastar o calor solar em excesso das regiões polares.

A proposta vem das Ilhas Britânicas, é de um Professor Slater. Para a operação de borrifamento das nuvens sugere a construção de uma frota de de 2000 iates a energia eólica (energia do vento que D. Francisco Manuel bem conheceu e usou, como força motriz de naus) com um sofisticado mecanismo de aspersão ainda a desenvolver. O modelo visionado pode ver-se já acima, como que a ensaiar a operação para a nuvem ao alto.

Bastam aos cientistas 10 milhões de dólares para ver se tudo é viável, uma soma realmente insignificante, se a contrapartida for travar um processo que parece conduzir para uma mudança irreversível do funcionamento global do planeta.

Desde que o homem anda pela terra aconteceram sete grandes "desastres" da mesma amplitude do que aparentemente virá a dar-se. E dentro de cinco ou dez anos a situação pode já ser irreversível. Isto é, a composição da humanidade poderá ter mudado radicalmente.

Pelo menos era agradável que o sal injectado nas nuvens, e "guardado por elas no coração", fosse o factor para evitar uma desolação talvez tão grande como se chovesse água e sal. Nuvens por meio do sal transformadas em imensos guarda-sóis para permitir ganhar fôlego e tempo para tratar a fundo o ambiente global.

quinta-feira, 17 de setembro de 2009

O preto no branco sobre cores


Porque a vida é descolorida, vamos falar das cores que falamos sem dar por isso de cor. São cores quase invisíveis, que só falando aparecem. A começar pelo preto, para nos irmos habituando. E, coisa engraçada: dizer um preto, ou um negro, é muito diferente, mas a cor é a mesma, a raça também. O sentido é que difere e muito. Se for pretinho, a cor mantém-se assim como a raça, mas se for negrito, entra-se no mundo da letra impressa e do grafismo. O negrito e é um tipo de letra mais carregado do que o padrão normal.

Mas vivemos num mundo em que se fala cada vez mais de "Verde" e "Verdes". Talvez porque está tudo muito verde, ainda a fruta não amadureceu... e contudo já não se pode ouvir falar de Verde, é uma conversa repetida à exaustão, que farta. Console-mo-nos então com o Verde-Esperança, nas bandeiras. E com o "Está Verde" e é passar.

E o encarnado no sinal? Impacientamo-nos, desesperamos, calma. Passou um vermelho...Não, passou no amarelo, que logo passou a vermelho. Há os encarnados na bola e os vermelhos na política. A bola tem verdes, azuis, azuis e branco, além de todas as cores reais que aparecem nos campos. Mas os rosas e os laranjas só aparecem na política.

Com os amarelos volta a raça. Brancos, amarelos, pretos, vermelhos. Na doença amarelo é icterícia, branco é palidez, verde uma grande má disposição. E ficar muito encarnado, é ruborizar, quando o sangue aflui ao rosto por força da emoção. Se fosse a ti, pintava-me de preto! É a vergonha.

Cores e gostos não se discutem, dirá um provérbio. Mas quando as cores dão passam por raças, pela política o contrário é que é proverbial. Afinal as cores, fenómeno da luz natural, que os sábios e cientistas estudam, estudam, como se presta a tanta imagem mental automática e sem cor?

Vejo tudo azul!
A coisa aqui está preta! Fazem falta cores quentes, alegres, vivas. Trata-se de avivar as cores que entram na fala quotidiana pela conveniência de catalogar, de repartir por um espectro racial, político, simbólico. Metáforas antigas de cores apagadas.

Há cores na Geografia: Castelo Branco, Vila Verde. Nos apelidos há Brancos, Pretos, Verdes. E um Verde se destaca para acabar em poema, onde a palavra mais sombria tem sempre mais cor. No Loira, é a cor do cabelo.

Loira

Eu descia o Chiado lentamente
Parando junto às montras dos livreiros
Quando passaste irónica e insolente,
Mal pousando no chão os pés ligeiros.

O céu nublado ameaçava chuva,
Saía gente fina de uma igreja;
Destacavam no traje de viúva
Teus cabelos de um louro de cerveja.

E a mim, um desgraçado a quem seduzem
Comparações estranhas, sem razão,
Lembrou-me este contraste o que produzem
Os galões sobre os panos de um caixão.

Eu buscava uma rima bem intensa
Para findar uns versos com amor;
Olhaste-me com cega indiferença
Através do lorgnon provocador.

Detinham-se a medir tua elegância
Os dandies com aprumo e galhardia;
Segui-te humildemente e a distância,
Não fosses suspeitar que te seguia.

E pensava de longe, triste e pobre,
Desciam pela rua umas varinas
Como podias conservar-te sobre
O salto exagerado das botinas.

E tu, sempre febril, sempre inquieta,
Havia pela rua uns charcos de água
Ergueste um pouco a saia sobre a anágua
De um tecido ligeiro e violeta.

Adorável! Na idéia de que agora
A branda anágua a levantasse o vento
Descobrindo uma curva sedutora,
Cada vez caminhava mais atento.

Mas súbito parei, sentindo bem
Ser loucura seguir-te com empenho,
A ti que és nobre e rica, que és alguém,
Eu que de nada valho e nada tenho.

Correu-me pelo corpo um calafrio,
E tive para o teu perfil ligeiro
Este olhar resignado do vadio
Que fita a exposição de um confeiteiro.

Vi perder-se na turba que passava
O teu cabelo de ouro que faz mal;
Não achei essa rima que buscava,
Mas compus este quadro natural.

Atribuído a Cesário Verde, in 'O Livro de Cesário Verde'

quarta-feira, 16 de setembro de 2009

A Pen e o Apêndice


É o nosso mais recente apêndice externo, a Pen. Anda pendurada em porta chaves, em fitas ao pescoço, na algibeira do lenço do casaco, por dentro, com as canetas. Ou pelas malas sem fundo, pelas sacas, onde se confunde com o isqueiro bic recarregável em teoria e na prática descartável.

O apêndice é um orgão aparentemente excluído de função, que serve apenas para assustar com as dores, que podem ser dele ou não, mas que não se livra da suspeição de ser ele o culpado, quando é do lado esquerdo do baixo ventre que se trata. A apendicite é uma infecção que até pode ser factor de morte em pouco tempo, se peritonite não é hospitalarmente atalhada. Mas é raro. E foi um grande tema de práticas cirúrgicas de antanho, em massa, até meados dos anos 50-60, a par com a operação às amigdalas.

Apêndice porque pende, mas de onde ou de quê? Do intestino delgado, do ceco, que faz a transição para o intestino grosso. A ciência, na sua sabedoria transitória, pronunciava-se dizendo que o apêndice era um orgão vestigial. Teria servido em digestões passadas e depois seria marginalizado progressivamente, pelo menos no homem europeu.

"De acordo com novas pesquisas, ao contrário do que se sabe até hoje, o apêndice vermiforme pode ser importante para a sobrevivência de bactérias intestinais comensais e para a recolonização do cólon após diarreias ou uso de antibióticos que matam, além das bactérias patogénicas, também a flora comensal". É o que diz a transitória ciência de hoje sobre o Apêndice. Mas para casos de apendicite, mantém o remédio do passado, a cirurgia.

O espectro da palavra apêndice é largo, como o de alguns antibióticos. Vai desde o orgão no abdomén até ao nariz, dito o apêndice nasal. E tudo o que pende do corpo é um apêndice dele. Mas os apêndices são correntes em contratos e livros, são apensos ou anexos. Em geral é um complemento, mas às vezes nele se acoita matéria fundamental ou subtil, nomeadamente quanto se entra a fundo na letra e disposições de contratos.

Pen vem do inglês, caneta, e "pen" é da família do português "pena", pena de aves, nomeadamente a do pato, com que se escrevia em papel. Português do alto, como a pescada, mas que paira nos ares:

Vinde cá, meu tão certo secretário
dos queixumes que sempre ando fazendo,
papel, com que a pena desafogo!

...

Mas a nossa "pen", este nosso novo e externo apêndice, vem de pen e ainda de "drive", que no inglês técnico designa um suporte electrónico de dados. Um suporte altamente portátil para uns quantos Megas, agora já uns tantos gigas. Muita informação. até mesmo a humilde pena de 1 Giga daria para conter nela tudo o que realmente notável se escreveu e foi editado. Pelo menos dá para meter 500 Lusíadas.

A pen tornou obsoletos disquetes, discos gravados. Por enquanto, para informação mais sensível e maiores volumes, ainda é a opção disco externo que prevalece. Mais segurança. Mas ninguém dispensa a pen apêndice, o veículo ideal para levar e trazer músicas, fotos, grafismos, entre outras coisas. É a memória instantânea que nos acompanha pelos dias fora. Em inglês Flash Memory.

E não vá falar a estrangeiros em Pen, porque nem brasileiro ou espanhol entende. É só no meio português que "a pen" é assim tão falada, badalada e conhecida. Um apêndice que nos faz falta? Por enquanto, antes "passar à história" como as cabeleiras do tempo do marquês de Pombal. Já o apêndice ventral e os apêndices contratuais, é deles o futuro.

sexta-feira, 11 de setembro de 2009

Cantando e rindo até ao playback e karaoke


Lusíadas, Canto X:118
...
Mas os Anjos do Céu, cantando e rindo,
Te recebem na Glória, que ganhaste.
...

Nesse tempo eram os anjos a cantar e rir. Séculos depois, o cantando e rindo passa para os coros da mocidade "que passava". Depois, já apenas decénios depois, surge em pleno o playback, que dava vontade de rir, quando havia dessincronizações. Uns não cantavam e talvez se rissem por dentro, enquanto o público ouvinte se ria por fora. Mais uns anitos, com o karaoke, o inverso do playback volta a cantar-se e a rir-se. É o cúmulo do riso, quando o karaokista consegue ser melhor que a voz original, toda ela trabalhada em estúdio. Em geral é a galhofa, ou o coro tipo carmina burana desconchavada.

O cantar e rir sofreu realmente um queda vertiginosa, numa espiral descendente tal que mudou do português para o inglês e depois para japonês! Um japonês de que só tinhamos de cor e na ponta da língua o poético "sayonara" ou o esquivo e golpeante"judo". Kara 空 "vazio," e ōkesutora オーケストラ "orquestra", juntaram-se para dar KARAOKE.

É nesse patamar de cantar e rir que ficámos até hoje. Patamar Karaoke, em grandes jantaradas entre grupos de amigos, festas de família. Já chegou a ser moda e modalidade internacional, , que irrompeu no mundo dos finais dos anos 90, fez abrir espaços e bares, mas agora só mantém forte implantação no Oriente.

KARAOKE. E foi num rasgo criativo de Dennis Potter que ascendeu à imagem, passou pelos anos 90 pelos ecrãs das Tvs de então. Oriunda da BBC a série foi vista por cá na RTP, dois, se não me engano. Dennis Potter tornou-se argumentista ao saber, nos anos 60, na Inglaterra, que sofria de uma doença que o imobilizou progressivamente. Acabou com membros, mãos e dedos, tolhidos. Na TV fez séries como The Singing Detective, Lipstick On Your Collar e acabou com o Karaoke, seguido de Cold Lazarus, duas séries que acompanharam a fase terminal da doença, e tudo por cá passou nos ecrãs da RTP.

Karaoke, a série, acompanha o percurso dos dias em que o diagnóstico terminal é declarado, ao autor e ao personagem. Um escritor, com êxito como argumentista de séries para rádio e TV, protagonizado por Albert Finney. Acompanha-se a vida dele em quatro episódios, um para cada dia de uma semana londrina, até lhe diagnosticarem um cancro no pâncreas. Acontece que este argumentista tinha uma série já em fase de montagem chamada Karaoke, mas há desentendimentos quanto à história entre ele e o realizador (jovem americano), subsidiado em milhões pela esposa, uma matrona de alta sociedade, antes viúva e muito herdada. O realizador acabou por se enrolar com a actriz principal, uma jovem inglesa que saíu do mundo (submundo) dos modelos para o seu primeiro papel. E foi escolhida pela sua espontaneidade, beleza e tiques de linguagem, atitudes e expressões da classe mais baixa.

É complicado? Pois é, mais ainda porque o escritor começa a ficar angustiado com coincidências entre a série que está já filmada e em vias de montagem e a vida real . Vai parar a um bar Karaoke atrás de uma jovem que reacendeu a chama do seu coração, e o fez recordar os seus tempos de adolescente apaixonado, evocado pela música "A Teenager in Love". Que lhe assoma aos lábios, a cada passo, a cada dor excruciante que o faz crispar todo, a qualquer momento, em qualquer lugar. E o bar do Karaoke é de um sujeito e que tem exactamente o nome que ele deu ao dono do bar de Karaoke da série que escreveu, e o protector da estrela que se envolveu com o realizador. E que vai aproveitar para lançar uma operação de chantagem sobre o embeiçado americano.

O patamar Karaoke do nosso cantando e rindo entra aqui em fase de delírio de imagens, visões, sons, encontros-ao-encontrão, encontros-choque, os abismos se aprofundam aceleradamente de moda para moda, meio para meio, classe para classe, infra-classe para infra-classe. Mas o escritor tenta atravessar tudo, no momento em que se agrava a sua condição física, para manifestar à jovem que lhe abriu a visão esse incomunicável facto, para estranheza total dela.

Numa sociedade em incomunicação brava, canta-se e ri-se as palavras de outros no karaoke sob fundo musical. E quando o autor habituado a pôr palavras na boca de personagens começa a ter a noção que as pessoas vivas estão a decalcar partes do diálogo que ele inventou? Uma perplexidade que vai invadindo o argumentista que vê a saúde agravar-se, passa pelas urgências do hospital, falta a compromissos inadiáveis com a montagem da série Karaoke, que a realidade parece disposta a imitar ponto por ponto, até na coincidência do nome do dono do bar. Problema grave, que pode impedir a série filmada de ir para o ar, sob pena de ter de enfrentar um processo judicial do dono real do bar, um tiranete do inframundo em fase ascensional, podre de rico. O chantagista.

E depois de subir ao palco e pegar no microfone para fazer uma aplaudida interpretação de "Pennies from Heaven", popularizado por Bing Crosby que aparece o "Happy End". Só no hospital, deixou vir a ronda da medicação, assegurou-se que tudo sossegava, trajou-se, muniu-se de uma arma carregada, e saíu pelas traseiras. No bar, depois de aplaudido foi convidado pelo dono, o tal que tinha o mesmo nome, para ir ao seu escritório. Queria ele ser o mentor de uma nova estrela da canção, o argumentista. Que o deixou falar até que lhe apontou a arma à testa e pôs fim à história em quatro dias/episódios. Um Happy End que não acabou em bem, mas em BANG.




quarta-feira, 9 de setembro de 2009

Observador de pássaros...


...é alguém que se dedica a pássaros porque, antes do mais, eles atiçam a imaginação; alguém que fica fascinado porque, de entre todas as criaturas, são eles que mais se assemelham a espíritos puros...Basta recordar que o Regulus regulus, com o seu estômago do tamanho de um feijãozito, paira por cima do Mar do Norte! E o Calidris feruginea, que procria tão a norte, tão a norte que só três pessoas jamais viram o seu ninho, passa férias na Tasmânia! (J.D. Salinger, Seymour-an introduction, The New Yorker, June 6, 1959).

E que são os (as) Lusíadas? "...um pregão do ninho meu paterno". Pássaro que apregoa com os seus cantos escritos. Talvez na mítica língua de pássaros. Há mesmo uma Conferência de Pássaros, de 1177, de Farid Ud-din Attar. Trata de uma Poupa que conduz um séquito de mais 29 aves ao encontro do Simorg, uma mítica Fénix, na remota China. É um poema de sabedoria sufi, em persa. O curioso é que tudo se resume a um duplo sentido pois Si-Morg, em persa, além do nome do mítico pássaro, quer dizer igualmente 30 pássaros. Começa assim:
Foi na China, numa noite sem Lua
Que o Simorg foi entrevisto por olho humano
Deixou uma pena a flutuar
E o rumor da sua fama chegou a todo o lugar [1]

E a destacar de entre os 4500 versos

Venham Mónadas perdidas unir-se ao Centro
Para ser o espelho eterno que já viram:
Raios que se projectaram por toda escuridão
Regressem e agora no seu Sol sosseguem
Precisamente a língua dos pássaros consiste em jogos de palavras, a partir dos sons. Do tipo Simorg e Si-morg em persa. Diz-se um dito que se pode entender outro dito porque o som é o mesmo ou semelhante. E fazem-se altos voos, mais numas línguas que noutras, da expressão e da especulação. O francês é um céu aberto deste modo de falar existenciel" (existe-en-ciel...).

Lisboa, com os seus corvos à proa e popa da barca-brasão, conhecidos por vicentes e tão eloquentes, há-de ser bom tema de observação. Se voamos até à mitologia nórdica, a pátria dos contos de fadas, damos com dois corvos Hugin e Munin, um que relata memórias e outro que enuncia pensamentos, coadjuvando Odin, também ele zarolho de um olho. Ao descer na cidade do fado aventamos que o Vicente da frente conte memórias e o de traz revolva pensamentos. O que é bom quando a bandeira no tope alto recebe forte vento contra e as velas estão por abrir. A barca dos corvos será, talvez, a Nau Catrineta, que tem muito que contar, e por isso se atracou às pedras trabalhadas de Lisboa.

E ora lá vai mais uma de "língua dos pássaros" que aconteceu agora mesmo, ao rever: reparem em Seymour e Simorg. Parecido, não? E Seymour em inglês soa como "see more", ou "ver mais", em português. Mesmo que com um olho só, ou talvez até por isso, o observador de pássaros que não desista.

quarta-feira, 2 de setembro de 2009

Fazer anos ao domingo, em week-end...


...é fazê-los na primeira-feira, porque se ao dia a seguir ao domingo se chama segunda-feira...E estas "feira", passaram a féria na boca do povo, e deram os feriados e férias. Seria o domingo a primeira-féria, logo após a féria do sábado. Mas o domingo para quem participa nos dias úteis da semana integra um conjunto chamado fim-de-semana, tradução do week-end saxónico. E depois de traduzido, o "week-end" entra para o parlengar quotidiano, no original, na recente injecção de inglesadas que são a poeira da globalização . Mas o "week-end" português tem sábado e domingo, não tem Saturday, nem Sunday. E Saturday quer dizer dia de Saturno e Sunday dia do Sol.

O "dominicus dei" do latinório passou a Domingo no falazar que entretanto conhecemos hoje como nobre língua portuguesa. E até está parecido com o original, apenas perdendo o "dei", e fixando o dominicus (do senhor). De domingo surgiram nomes próprios, Domingos, Domingas. E há S. Domingos, que tem largo e igreja em Lisboa.

Para quem anda na faina dos dias-feiras (que também se poderia dizer férias, mas que o não são), é mais o dia do patrão, ou melhor, para não ferir susceptibilidades, do "Boss", que também já faz sentido no parlengar corrente com ligação à língua global, o inglês.

A causa remota desta originalidade do português nos dias da semanadeve-se a um bispo de Braga (Bracara, sec. VI) proveniente da Hungria, S. Martinho de Dume: "considerando indigno de bons cristãos que se continuasse a chamar os dias da semana pelos nomes latinos pagãos de Lunae dies, Martis dies, Mercurii dies, Jovis dies, Veneris dies, Saturni dies e Solis dies, foi o primeiro a usar a terminologia eclesiástica para os designar (Feria secunda, Feria tertia, Feria quarta, Feria quinta, Feria sexta, Sabbatum, Dominica Dies), donde os modernos dias em língua portuguesa (Segunda-feira, Terça-feira, Quarta-feira, Quinta-feira, Sexta-feira, Sábado e Domingo), caso único entre as línguas novilatinas, dado ter sido a única a substituir inteiramente a terminologia pagã pela terminologia cristã" (Wikipedia).

É prática que antecede o reino de Portugal, vem lançada desde os Suevos, que andaram pelo Alto Minho, terras do Bouro ( Bouros, era o nome de uma das tribos suevas).

Volto ao latim de S. Martinho e afirmo ter feito anos em Prima Feria, e com júbilo! E a Europa toda, a nossa hermana Espanha inclusivé, a ateimar na semana pagã...Os ingleses, então esses, nem o Lord puseram no Sunday. Tanto Lord, tanta royalty, tanta feira mundial, tanto mercado mundial, mas a week, nada de confusões, que fica como estava no tempo de Roma.Mas não ateimo eu com eles e prefiro gabar-me de ter feito anos no Sunday, sem cântico de Happy Birthday to you, que mesmo em português me deixa estranhamente acabrunhado. É talvez aqui que se nota uma sombra de João de Deus que recomenda, "antes os desfizesse!"

Mas haja optimismo, nem que seja astrológico! O Dia em que nasci...o soneto de Camões, afinal codifica, segundo Mário Saa, o horóscopo do poeta, que hoje ninguém sabe bem de onde foi, mas deixou poeticamente o rasto do seu céu! Nasceu num sábado.

segunda-feira, 31 de agosto de 2009

Síndrome de Diógenes e a força do Mito Urbano


É uma maleita cada vez mais corrente, na era dos marginalizados e sem-abrigo que vai de par e se abre de par em par com a afluente globalização, nomeadamente quando lhe dá a "crise". É doença que consiste no abandalhamento pessoal crescente, que reduz a pessoa afectada à condição de um Diógenes, sem templo de Cibele, Grécia Clássica ou Filosofia.

E Diógenes, o S. João Baptista dos cínicos e estóicos, aparentemente queria ensinar o essencial, tropeçando continuamente no ensino complicado, que forçosamente tinha que combater. E fez de si exemplo, Vivia numa tulha, saía pela cidade em pleno dia com uma laterna, diz-se que com o intuito de encontrar um homem a sério. Comia cebolas, os ratos eram o seu harém, e satisfazia em público apetites carnais porque os apetites da tripa ou barriga de misérias eram mais custosos de satisfazer.

E aqui entra o mito, que agora se diz ser "urbano", o anedotário. Diógenes, como Bocage e outros é um habitante privilegiado dessa esfera, e na Filosofia não tem paralelo. É tema de escultura e pintura desde a antiguidade, agora até tem nome de maleita, ombreando com outros gregos saídos directamente do Mito para a lista dos distúrbios psíquicos, como Édipo, Electra, Cassandra.

Fez obra escrita que foi inspiração para outros, mas de que nada resta directamente. Empenhava-se em diminuir a sua dependência de fosse o que fosse: deitou fora a malga, ao reparar que um miúdo bebia fazendo concha com as mãos. Areemessou a colher, porque se podia perfeitamente comer lentilhas usando apenas buchas de pão, gostava de apanhar sol, talvez se alimentasse de luz, como os meninos do brejo da cruz da canção do Chico Buarque.

"O homem complicou o que eram os dons simples dos deuses", "Sou um cidadão de todo o Cosmos", e Cosmos em grego queria dizer o Mundo organizado natural, pouco mais ou menos. Diz o mito urbano que foi o primeiro a dizer uma tal coisa, que deu parafrases conhecidas como aquela do Kennedy, a dizer que era de...Berlim, quando era do clã.

O Mito Urbano agora dominante inclui o Tarot, que sonda os futuros. E o Tarot lá tem uma figura de idade, ataviado em balandrau, a levantar uma cadeia, a fazer lembrar a tal busca de Diógenes pela cidade. Noutra imagem, essa de filme sobre livro e coisas do diabo, aparece uma figura semelhante, diante de uma porta fechada e com a cadeia pousada. Candeia que surge no quadro de Waterhouse, à esquerda. E Giovanni Castiglione, pintor do sec. XVII, afirmou ser a reencarnação de Diógenes. Mas é na Bolha Informe do Mito Urbano que Diógenes está encarniçadamente implantado, tendo por ilustração viva sem-abrigo, alcoólicos e mais vencidos da vida sem literatura nem escola.

sexta-feira, 28 de agosto de 2009

Direito ao Travesseiro


Em directo até. Pillow em inglês, porque revi o The Pillow Book, de Peter Greenway. mas podia ter visto o Pillow Talk, com a Doris Day. "Aconselhar-se com o travesseiro", "Para teu conselheiro, não esqueças o travesseiro", ditados que remontam ao latim onde se dizia "Pulvillum consulere". E este pulvil, que em português nada tem com artefactos de cama, mas sim com pó (polvilhar, pulvorulento) e por via popular deu pilha, no inglês deu pillow. Um vestígio dos romanos no dia a dia anglo-americano: "cup" (taça), do latim "cuppa" (tonel), de "kitchen" (cozinha), do latim "coquina" (cozinha), de "wall" (parede), do latim "vallum" (paliçada) entre outros.

"O lugar da face" é o que quer dizer em árabe al-mo-khada, a progenitora de almofada. E como o filme é poliglota mas a protagonista escreve nomeadamente em caracteres chineses, permito-me o direito de meter aqui o travesseiro, uma palavra que põe a cama horizontal geometricamente direita. Fica a cama feita.

O Livro do Lugar da Face, seja então, é um filme cheio de caracteres e por isso, talvez, muito característico. A superfície a escrever varia, mas a obra-prima é na pele, por toda a pele, face, escalpe, sola, pálpebra... de sucessivos mensageiros-"papel".

A ler antes do sono. Um sonho a ver antes, para quem sonhar é risco. E não se pode acordar do sono sem sonhar ao menos uma vez por semana, dizem os que meditam inconsciências, desmaios, apagões. Terapia de ocasião, colhida no real das redes e ecrãs, ao descaso do acaso, com efeito.

quinta-feira, 27 de agosto de 2009

Bambochada















O que me intriga é o percurso desta palavra italiana derivada de uma escola de pintura do sec. XVII, que chega ao português, a blogs, à actualidade. Criei mesmo um neologismo há tempos, bambocha. E invento agora outro, nem sei se a propósito, bambochatice. Bambochata! Um poeta amigo, surrealista empregava-a com a conotação depreciativa que tem hoje.

Provém da alcunha romana de um pintor flamengo, Pieter von Laer, século XVII, que alcunharam de Bamboccio, achavam-no um bonequito, um bonifrate, uma espécie de fantoche. E pintava coisas, de certa maneira no estilo de Caravagio, mas os temas eram o mero dia a dia, a vida das ruas, os tráfegos. Bambochatas. Mas como teve compradores, vieram outros fazer parecido, flamengos e depois de mais partes. Os Bamboccianti tornaram-se escola, e figuram nos museus, colecções, leilões.

Fantochada, é o sentido corrente da nossa bambochata ou bambochada. Recentemente entrou em circulação, mais uma voltinha agora, já no novo milénio e nas novas tecnologias de informação, em blogs eleitorais, a par de tranquibérnia, trafulhice e mais.

E deparei com tudo isto, mas o propósito da pesquisa era outro. Queria encontrar paralelos flamengos para os painéis de Nuno Gonçalves. Trata-se também de um caso que atravessa séculos, desde meados do XIX, mas em forma de polémica, com fatalidades até pelo caminho. Aparentemente há no próprio conjunto pictórico elementos enigmáticos. Mas há outros claramente patentes: surgem duas figuras geminadas, em dois grandes painéis, quatro painéis mais pequenos, dois livros abertos, um no evangelho de S.João cap. XIV, e dois fechados debaixo de dois braços esquerdos. E todas as figuras são retratadas, não apenas figurantes. A polémica em sucessivas vagas e gerações parece surgir porque cada analista apanha um ou mais sugestivos aspecto, agiganta-o, e tenta resolver tudo de uma vez e de uma vez para sempre. E imediatamente sobre ele convergem facilmente os amantes de contraditar, que têm sempre muito por onde pegar. Mas o tempo também foi trazendo algum progressos, poucos, no elenco de elementos a considerar. E destes há uma hierarquia a fazer, definindo quais são os mais importantes, sejam eles patentes, enigmáticos ou em dúvida.

A Dendocronologia, a datação pela análise dos anéis do tronco das árvores, uma ciência do século XX iniciada pelo americano Douglass, aplicada às tábuas dos painéis, coloca a pintura entre 1440 e 1450. Desta época é a outra imagem, onde surge Filipe, o Bom, a receber uma crónica, exibindo, ele e outros, a ordem do Tosão de Oiro, de fresca data constituída. O tratamento pictórico parece ter um parentesco com os painéis, embora se trate de um evento de corte, sendo cada um dos presentes retratado.

E ai estão dois auto-retratos do Bamboccio, que desencadeou esta embrulhada ao fazer escola por Roma. Um deles com mágica e música.

quarta-feira, 26 de agosto de 2009

Uma imagem, 1000 mitos por contar







De Jasão e argonautas há várias versões, o ponto de convergência é o Velo de Ouro. Na foto, a imagem de um vaso grego que se conserva no Vaticano. Nenhuma das versões escritas do mito e bem pormenorizadas, por sinal, conta a história desta preciosa imagem em que Jasão aparece a ser apresentado a Atena numa bandeja, que é a mandíbula inferior do Dragão da Cólquida (a Georgia actual). Que antes o engolira inteirinho, como se fosse uma cobra Boa, que há no Brasil, por exemplo, e cujas proezas podem ser vistas em inúmeros programas do National Geographic channel. Ou em DVD.

Pelos vistos só foi devolvido, e profundamente inconsciente, se não totalmente amassado, por intervenção de Atena, presente com todos os seus atributos, e com o velo de ouro, pendurado num ramo, acima e à direita. Tal como depois aparece no símbolo da ordem de La Toyson d'Or, instituída na Borgonha, aquando do casamento de uma filha de D. João I e Filipa de Lencastre irmã de D. Duarte, D. Henrique, D. Pedro, D. João, D.Fernando...Era o elemento feminino da ínclita geração. Uma alternativa à Jarreteira inglesa que por razões diplomáticas o duque não podia aceitar.

Para além da força assustadora da imagem que encerra o mistério de ser uma parte por contar de um mito grego com versões antigas, medievais, modernas, mas que nada adiantam sobre o episódio ilustrado. Ora este dragão era conhecido porque nunca dormia. Será que era o Sono Absoluto em forma Animada? O Jasão, jaz completamente inerme e inconsciente, de borco sobre a mandíbula crocodiliana da cobra, cabelo e braços a pender e do sexo para baixo o que se vê são escamas, cristas ósseas...da serpentina criatura. Em posição análoga à do tal carneiro de ouro, suspenso do galho, apenas pele, sem carne, mas talvez com osso, da cabeça.

E Atena? Está atenta, mas não ao olho que o cobrão nela crava. Um olho dentro de uma cavidade ocular em forma de gota polposa, que se prolonga para trás, em fusão com outra "gota" oposta, e a forma faz lembrar o símbolo do infinito na Matemática, ou uma forma denominada lemniscato ou fita de Moebius.

E o dragão não parece fazer esforço para manter aberta ao máximo a mandíbula superior. Esses dentes bem visíveis nas duas mandíbulas, continuando a desfiar mitos, seriam semeados. Mas ali, no vaso estão graficamente bem implantados, perfeitamente em condições, sem necessidade de dentista.

Euripides tratou do caso de Jasão, quando trai Medeia para fugir com o velo de ouro, o carneiro. Onde é que essa história entra na imagem que o vaso ilustra? Não imagino. Mas como estamos em teatro, e teatro ainda é muito Shake-speare (que até tem obras históricas em que entra o John of Gaunt, pai de Filipa de Lencastre), e speare é lança, um dos atributos na mão direita de Atena, deixemos que isso fique para aí a vibrar, a agitar.

Eu até sou da geração do Shake-Rock and Roll.

E como os anos passam e o shake se acelera, sugiro ver o que acontece pela Ilha do Ermal, Alto Minho, numa ilha em albufeira agora da EDP, este fim de semana. Três dias de rock pesadíssimo, cada dia dezenas de grupos metal, para um público de admiradores fiéis. E é Portugal. E é mais que um ermo, um ermal.

terça-feira, 25 de agosto de 2009


O filme de há mais de 50 anos é a Noite do Iguana, de uma peça de T. Williams. O avozinho é um poeta centenário quase, que viaja pelo mundo com a neta, artista do traço e do desenrasca, que tem um derradeiro assomo de inspiração, depois morre, em cenário de mar (Pacífico) e enseada mexicana. O assomo foi ganhando corpo e a voz soltou obra antes, mesmo imediatamente antes, do suspiro final, que afinal é um inspiro, neste caso duplamente. As testemunhas foram as personagens da neta, da hospedeira e do amigo dela um "homem de Deus" episcopaliano em crise do mundo real e do mundo fantástico, dois infernos, segundo ele.

How calmly does the olive branch * Que sereno o ramo de oliveira
Observe the sky begin to blanch * A ver o céu empalidecer
Without a cry, without a prayer * Sem um lamento, sem uma prece
With no betrayal of despair * Sem trair sombra de desespero

Some time while light obscures the tree *E quando a luz abandonar a árvore
The zenith of its life will be * Passado o zénite da sua vida
Gone past forever * Para todo o sempre
And from thence * Então, daí em diante,
A second history will commence * Começa uma nova história

A chronicle no longer gold * É a crónica sem tons de ouro
A bargaining with mist and mold * Da transação entre névoas e bolores
And finally the broken stem * Até que o tronco despedaçado
The plummeting to earth, and then *Se afundar na terra, mais e mais

And intercourse not well designed * Mas este é um coito mal concebido
For beings of a golden kind * Para seres de natureza áurea
Whose native green must arch above * Cujo verde natural deve fazer um arco
The earth's obscene corrupting love * Sobre obsceno e dissolvente amor terreal


And still the ripe fruit and the branch * E ainda assim o fruto maduro e o ramo
Observe the sky begin to blanch * Observam o céu a empalidecer
Without a cry, without a prayer * Sem um lamento, sem uma prece
With no betrayal of despair * Sem sombra de desespero

Oh courage! Could you not as well * Oh coragem! Não quererás tu agora
Select a second place to dwell * Escolher uma segunda morada,
Not only in that golden tree *Já não em árvores douradas
But in the frightened heart of me * E sim no meu coração atemorizado?

segunda-feira, 24 de agosto de 2009

Vou falar de outra coisa


Podem tomar os vossos lugares, ordeiramente, pelo chão do resto do verão afora.

Agora, já todos, todos confortavelmente instalados, eu vou para cima da árvore, mas não muito, para não ter uma vertigem e desabar. Ouvem bem, aí junto ao rio da minha aldeia, também?

Vamos admitir que todos sabem o que é falar, embora claro se admita que cada um tenha a sua forma de entender de acordo com a voz, mais que não fosse. Portanto, este aqui "falar" é específico, na medida em que se trata do escrever, que se faz em silêncio, de pena ou caneta em punho, ou com a parte martelar dos dedos, geralmente o médio da esquerda e da direita apenas, se se trata de um teclado de computador. Portanto estamos longe de uma escrita ou de giz em ardósia, o de pedra contra pedra, a entalhar. Mas mais perto dos romanos que usavam superfícies de cera e estilete.

E pode-se perfeitamente também pensar que as gradações que cada um terá do falar depende da quantidade e da forma de escrita que pratica. E do ler, sem dúvida.

Aliás o falar teclando, é um martelar. Digamos que "martelar" é mais na máquina de escrever, porque aí cada dedo em si funciona como martelo, falange+falanginha o cabo, falangeta, a cabeça. Martelo sem orelhas. No teclado de computador é mais a técnica de empurrão, uma coisa que ainda não conheço quem tenha bem definido e não há comparação imediata. É um gesto novo e que pode dar para "falar".

Mas, acima de tudo, é o tal falar de outra coisa. Sem mudar de assunto, embora pareça que seja antes outra maneira de falar. É que sem falar de outra coisa nunca mais se chega aquele ponto onde a falar é que a gente se entende. A escrita sempre teve este condõ de ser uma fala menos susceptível de evitar alguns atritos que o falar vivo suscita. Então escreve-se, para depois falar, e às vezes dá resultado. Uma escrita que, ao contrário do lapidar "escrever sobre pedra", não faz lei.

Neste caso, assume-se que a ligeireza do que se escreve (até pelo modo pouco esforçado como se escreve) entra no limbo em que se está a falar por falar, a falar para dizer outra coisa, a falar até a ver se pega. E há quem se exalte, brade, injurie, agrida, magoe, condene, minta, espalhe rumores, entre no que diz-que-diz com o simples premir de uma tecla...de rato. É a fala clique, que tem semelhanças com o comutador da luz, mas que está sobre a secretária. Acho que é possível que pelo falar clicando ter efeitos de imensa repercussão no mundo. Refiro-me a locais como bolsas ou controles de trânsitos e tráfegos.

Curiosamente, estes cliques leves em locais chave, saem fora do falar, que será por exemplo uma clicada num anúncio para ver o que dá. Os cliques leves em locais chave são comandos, que desencadeiam séries de consequências. É possível reverter a ordem, nalguns casos. Mas um clique nessas situações abre imediatamente um leque de acções assustador. É como soltar um grito num velório.

Para concluir: ao dizer "falar de outra coisa", espera-se que mudemos de assunto. Deixa-se, contudo, um rasto subtil, com tendência para passar a lastro no mar electrónico dos ecrãs: é que se há falar de outra coisa, há forçosamente falar desta coisa, assunto. Ou da coisa em que se estava a falar antes. É o perigo para quem diz que vai falar de outra coisa. Porque falar de outra coisa é coisa que acontece quando falar é conversar, e menos quando o falar é expor, que é uma espécie de palestra por escrito.

E disse "vou" e fui. Tenho teclado.

PS: A imagem era para ser aqui e ficou lá no alto

sexta-feira, 21 de agosto de 2009

A imagem é da Nona Porta. Mas fala-se de Polifilo


É um livro, misterioso e que é mencionado logo no início das Novem Portis do Polanski: Hypnerotomachia di Polyphilo, de Colonna, Veneza 1545. Este e o Compendium Maleficarum, de Guazzo, são os livros que o Corso/Depp avaliador propõe aos herdeiros do património em livros que fiquem fora do lote para vender. Além do Dom Quixote, que ele desvia para a esfera dos seus interesses. E foi bom o negócio? Pois sim, pois o Corso oferece 4 200 dólares por algo que tem um valor de mercado de 23 000. É o Ingenioso Fidalgo de la Mancha (1780), de 1780, publicado pela Academia Real de Espanha, em Madrid.

O livro da ficção, o das Nove Portas, seria uma cópia do Delomelanicon, que etimológicamente quer dizer invocar a escuridão. E Polanski arrasta consigo uma fama propícia a veicular tantas estrelas negras da constelação das sombras, no firmamento do conhecimento. O filme em si tem um único lado que o deixa descosido no acervo da filmografia do realizador. A "girl". Quem é, além de ser a Emmanuelle Seigner? Um realizador com obra coerente no domínio do misterioso, do lado negro e do suspense, deixa assim um personagem impedente, do nada e a pairar? Eis O mistério das Nove Portas.

Por isso aqui voltei, com dez anos a completeram-se sobre o ano-véspera de milénio. Um ciclo. Que não é de desprezar para quem não conseguir entrar noutro calendário ou prefira continuar a gozar a global generalização deste. O que há de outros tempos nos tempos que já são Outros?

quinta-feira, 20 de agosto de 2009

Elogio Fúnebre

Dedicado a todos os que definitivamente fecharam os olhos, mas que conseguiram nem que fosse num relance estar de olhos bem abertos. O que não é fácil.

O culto do Morto/Notícia e do Morto-Que-Continua-A-Vender, às vezes ainda mais do que quando vivo, é uma técnica inexorável de marketing, compensatória, por assim dizer, do morto-estat´stica, ou nem isso. O Morto Desconhecido, em caso de guerra, desde a Primeira em que 50 000 nunca foram recuperados da lama das trincheiras, passou a ter estátua e comemoração. E vulgarizou a promiscuidade entre vivos e mortos, como uma mola real da economia do consumo e gasta-gasta, que até já está em recuperação! Aleluia!

Portanto vai tudo poder continuar a falar dos mortos conhecidos, a discutir o ambiente, a salvar o planeta e a andar de carro e avião, a ver TV, a fazer pela vida. Sob o signo dos direitos humanos, cada vez mais extensíveis aos que o foram, mas também a empresas/marcas (como a Intel que argumentou estar a ser vítima de discriminação...), animais, e tudo o mais que as imaginações generalistas abarcam e os meios de comunicação apoiam e amplificam.

Quanto aos Eyes Wide Shut e As Nove Portas, filmes de 1999, está quase tudo sugerido. Apenas de notar que no Polanski/Reverte, as imagens do livro em causa estão repassadas de imagens dos arcanos maiores do Tarot, e a Torre do Diabo se situa em França, a sudoeste de Carcassonne e é o chateau Puivert.


quarta-feira, 19 de agosto de 2009

Bob Dylan identificado pela polícia de New Jersey


O Bob Dylan anda na estrada, com Willie Nelson e um mais novo Mellencamp. Em NewJersey, numa cidade pequena, alguém desconfiou de um deambulante, à noite a vaguear, mal enjorcado e chamou os cops. Jovens estes, uma jovem até, não sabiam quem era Bob Dylan, e lá o meteram no carro. Foram aonde ele disse que tinha identificação, que era onde estava a turma da tournée. E foram os empresários que contaram à imprensa o episódio. Mesmo com um site de mais de 6 milhões de visitantes, uma publicidade que mete cops dá sempre jeito mundial.

Em concerto por esses dias de finais de Julho, à chuva, tocou "A Hard Rain is Goin' Fall" e "Rainy Day Women n# 12 and 35". Mas é melhor ouvir o disco, porque faz pena vê-lo actuar, há exemplos no You Tube.


Continuo nos olhos, abertos/fechados




Porque ontem fui mais longe e vi e li um trabalho que está nomeadamente no You Tube sobre o último Kubrick, 1999. A seguir vi o Polanski de 1999, A Nona Porta, que por sinal foi rodado em Sintra, partes, e com afinidades em ritual, tipo Missa Negra. E estava-se no ano do eclipse de Agosto que aparentemente figura nas profecias de Nostradamus. Era o Milénio a despontar na treva e que em Portugal deu nome de banco, o que ilustra bem a perícia numérica necessária para dar conta das voltas do calendário em que se enfilam dias a dias adiante adiando, adiando.

Vale a pena proceder à decifração do Eyes Wide Shut porque o filme foi feito a contar com os videos, DVD, as internets. É material para analisar, decompor e comparar. E chega-se ao ritual, impressionante, mas onde tudo é carnavalesco, síncrese de elementos díspares, centrado num tantrismo cripto-religioso. Aos olhos do personagem principal que faz a sua passagem no local por estar desorientado, após um choque que o abalou no Ego instalado, clandestino, mascarado mas rapidamente desmascarado, é uma percepção do real de tipo onírico aquela em que vive e que o filme passa em segunda mão ao espectador.

No filme de Polanski referem-se tais rituais como passatempos de ricos e poderosos para dar pretexto à satisfação de apetites sexuais desviantes. E enquanto no primeiro filme as alusões a "Aquele Senhor", como os antigos diriam, ou seja o vicentino demo, só são claramente percebidas desmontando o filme, no segundo fala-se do Devil, há uma personagem, uma velha senhora francesa coleccionadora de livros de receitas mágicas-negras, que diz ter estado com ele quando tinha 15 anos. Morre no fogo, como ela própria referiu que assim sucederia no passado, em tempos de inquisições várias...E esta cena da morte é a mais saliente no Polanski.

O Demo, aliás, presta-se em português vernáculo a equívocos que devem preocupar os democratas. Demo-cracia é uma palavra arriscada e para que passe é preciso proceder a uma lavagem geral de esquemas linguístico-mentais, no qual têm um papel os meios orais de comunicação social. Falar mal e depressa, caricaturas sonoras, em publicidade ou em números cómicos, misturadas de som, de línguas e tudo vertido em décibéis de spots e fungagás e com esclarecimentos de vozes altamente credíveis ou sexualmente lisonjeadoras, entrecortadas de gritos de golo, GOLO, para que o orgasmo mental do telespectador aturdido ou do automobilista em stress se habitue a "pensar" pelo que emprenha pelo ouvido. Mas o filme desta situação tipicamente portuguesa ainda não foi feito, nem se vê quem o faça. Cilindrar a língua para que a Demo-cracia passe no goto até com algum prestígio, é obra. Agora qual o grimório ou receita usada nesta tarefa notável, ainda não consta que se saiba em que prateleiras está. nem se é cá a livraria ou lá. Também não interessa: a globalização aí está.

E por isso me fico pelos ingleses, que seguem uma tradição que já vem do Shakespeare, e seu tempo, passa pelo Swift, pelo Carroll da Alice das maravilhas e do Espelho (que era também pastor e matemático e fotógrafo. E fotógrafo, na época dele, era como hoje dispor de um satélite de alta resolução para tirar para cima e para baixo, a seu belprazer) e pelo Crowley. O tal que veio cá ter com o Pessoa em 1929 ou 30 e que deu uma controvérsia recente a propósito de algum espólio que ficou em Portugal. Isto quanto ao Kubrick que desde o Dr. Strangelove a este Eyes Wide Shut deixou um legado. Numa geração em que se salienta nessa linha o J.G. Ballard (Crash), o Peter Greenway (cinema), o Denis Potter (TV e rádio).

Quanto ao sincrónico com este, o Polanski, é um filme que carrega demasiadamente uma mensagem, reforçada pela figura de Emanuelle Seigner. Mensagem também da circunstância da época, mas que só aparentemente é obra do estilo Polanski, como em Frantic ou outros anteriores, desde mesmo os tempos heróicos da Polónia. E há então um desígnio de esperança que se comunica.

No Kubrick surge uma máscara nas cenas finais sob a almofada dele no quarto do casal, onde a mulher ocupa a sua parte da cama. E fica por se saber que faz ali e como lá foi parar a máscara. Obviamente um ponto em aberto e que será a mensagem patente ao espectador. O filme precisa que lhe tirem a máscara. E na operação o espectador, tornado decifrador, que máscara porá.

Vou incluir uma foto, que será de um encontro de xadrez Pessoa-Crowley em Lisboa. Será não será? À direita - já descobri como é que se põem fotos junto às msg - é uma fotografia autêntica. isto é, não uma montagem, como a outra poderá ser, de Pessoa no Martinho. Afinal ainda não sei tão bem: à direita em cima, à esquerda e mais abaixo...

terça-feira, 18 de agosto de 2009

Sob um olho bem aberto

eyes wide shut. Estou a referir-me a um item de atenção destes últimos dias, semanas e que ontem teve um epicentro com uma intensa busca de esclarecer os mistérios do derradeiro filme de Stanley Kubrick. Desde logo a "cut" diz-se que não foi a cabada pelo realizador, outros dizem que não chegou a concluir e depois parece que há várias versões a circular. Anos depois, com nets, piratas, países, línguas é uma babilónia de olhos bem fechados.

Um ponto serviu para ontem indagar. Aquele cântico do ritual, que me pareceu ser uma gravação passada de trás para diante. E será, de um cântico ortodoxo romeno. Há outros elementos hindus, mais adiante, que suscitaram protestos, e que terão ou não sido substituídos.

De imediato se nota um filme que se passa na quadra do natal. Uma quadra de dias que vai desde meados de Dezembro ao no Novo. No hemisfério Norte o sol parece nascer sempre no mesmo ponto, a sul do leste., e permanece no seu ponto mais baixo ao meio-dia. É o estacionar do Sol na mais baixa posição. Os romanos celebravam as saturnálias, a astrologia consagra a segunda metade do período a saturno, o deus romano do tempo, da idade avançada, da sabedoria. E janus, um deus com duas cabeças ainda hoje é por nós celebrado no dia a dia quando chega JANEIRO, ou quando se abre uma JANELA. Janeiro é um mês de balanços, olhando para trás, mas onde se formulam piedosos votos e esperanças para o ano em frente. À janela, que não seja de guilhotina, claro, como ainda acontece em Lisboa nos bairros antigos, as janelas tem duas portadas e olha-se delas para rua cima e para rua abaixo.

Nova Iorque, é natal, há um casal e uma filha ainda na infância. Para o casal foram selecionadas as estrelas com maior poder de identificação entre o público consumidor de cinema e vídeo. O casal médio, profissional, já em pleno curso de rotina afectiva, com a criação da filha única em andamento e fase a passar para crítica, é o momento de aderirem ao apelo da sociedade ambiente, indo em traje de cerimónia a uma festa. E aí ele e ela têm experiências diferentes, que cada um por seu lado se vão inesperadamente prolongar e diversificar para o dia seguinte, o dia de fazer as grandes compras do Natal, com todos os ingredientes de quem tem uma filha pequena.

Uma noite, um dia, outra noite e o dia das compras. Na quadra de saturno do ano de César, reformado e etiquetado de gregoriano, apenas para acertos de contas astronómicas, mas nada alterado enquanto a nomes, que permanecem os romanos, com a alteração de César, que lá se meteu com o seu nome de gens, Júlio e Augusto, com o seu título imperial. A deixar rasto na parte mais quente e leonina do calendário. Que agora serve de referência ao mundo globalizado e sincronizado por redes de comunicação 24 sobre 24 horas. Sobrepondo-se a todos os demais calendários que, regra geral, são de natureza lunar.

Este normal casal diurno em Nova Iorque - Torres Gémeas, das UN, Wall Street, do Projecto manhatan, arranha céus e elevadores e metros, das limosines, New York New York, por toda a parte em espectáculo diferido, aclamado, repetido - mergulha com naturalidade numa noite desta quadra. E o casal literalmente desacasala-se. Cada um deles passa a viver uma experiência de fundo sexual própria, o que abala os fundamentos do casal com a sua componente de reprodução e conservação de uma espécie, de uma família, de uma classe, do social diurno.

O que se revela no filme é que o natural caos do submundo sexual de cada um por si é afinal sujeito a um mundo oculto, altamente ritualizado, que conflui de forma elusiva de mansão em mansão, e em que intervenientes e oficiantes se encontram sob máscaras de carnaval de Veneza. E neste ponto ambos os componentes do casal confluem de novo: ele porque vive uma realidade que parece um sonho ou pesadelo; ela porque vive um sonho/pesadelo que parece real.

E no dia das compras de Natal, para além delas, ela propõe que se FUCK (Fornication Under Consent of the King)...

E se houver mais, depois, um dia, reportarei...

segunda-feira, 17 de agosto de 2009

Há dois ontens...

a reportar.

No 1º, o ontem anteontem, sábado, week-end, o principalmente notório será o conspícuo calor do feriado apontado ao centro do Verão. O carrocel dos dias está no ponto mais alto visto da terra, hemisfério norte, latitude média, à beira, quase na praia do Atlântico. Este cume acumulado de Verão é momentâneo ao máximo e dele se desce sem se dar por isso. Basta notar que ao estio do meio da tarde já sucedem uns fins de tarde refrescantes.

Depois veio o ontem a seguir, domingo. Começaram os regressos de férias, mas ainda não tenho retratos para mostrar. Das férias alheias, que são as que os mais passo. Suponho, mas nem sei bem, que não me dou férias nem sequer para as passar. Passar as férias é demasiado parecido com passar a ferro, que também só faço quando não há outro remédio. Embora seja um adepto ferrenho de passagens, atalhos, sendas. Nem tomei banho. Mas lavei louça, roupa na máquina, que lá está a secar na corda da marquise. Aux Marquises...

Ils parlent de la mort
Comme tu parles d'un fruit
Ils regardent la mer
Comme tu regardes un puit
Les femmes sont lascives
Au soleil redouté
Et s'il n'y a pas d'hiver
Cela n'est pas l'été
La pluie est traversière
Elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs
Qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise
Le temps s'immobilise
Aux Marquises

Du soir montent des feux
Et des pointes de silence
Qui vont s'élargissant
Et la lune s'avance
Et la mer se déchire
Infiniment brisée
Par des rochers qui prirent
Des prénoms affolés
Et puis plus loin des chiens
Des chants de repentance
Des quelques pas de deux
Et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise
Et l'alizé se brise
Aux Marquises

Le rire est dans le cœur
Le mot dans le regard
Le cœur est voyageur
L'avenir est au hasard
Et passent des cocotiers
Qui écrivent des chants d'amour
Que les sœurs d'alentour
Ignorent d'ignorer
Les pirogues s'en vont
Les pirogues s'en viennent
Et mes souvenirs deviennent
Ce que les vieux en font
Veux tu que je dise
Gémir n'est pas de mise
Aux Marquises

sábado, 15 de agosto de 2009

Woodstock

Quem abriu o festival foi Richie Havens. Vou ver se consigo gravações. Faz hoje 40 anos e foi um festival ascencional, embora a partir daí os hippies entraram em perda, com a entrada em cena dos interesses de sempre. Guerras, nucleares, e a ecologia ainda balbuciante só conseguiu até hoje ser muito falada. A "gasosa" e a máquina é que vale. Entre o homem descendendo do macaco e o homem ascendendo à máquina (então com a no tecnologia é que vai ser!), venha aquele Senhor e escolha. E aí está uma imagem para a história possível. E o som? Vai aí a quem lá for...

http://www.youtube.com/watch?v=Q1pMeyy__r0

Ou, para uma actualização, do mesmo

http://www.youtube.com/watch?v=QnPi1nu8OOE&feature=related

Consegui o tal AVC

e não tive ataque algum! A V Codec...da Videolan e já está a cair aqui para depois levar para casa e instalar. No meu portátil vetusto e sujo. Ou sujo e vetusto. Ou sujíssimo e arcaico. Para não destoar da paisagem das cercanias não remotas.

agora vou ver se consigo animar isto com um "gadget"

Até Be Logo em Ascensão

O que não quer nada dizer que não caia por aí abaixo aos trambolhões...Não quer mesmo nada dizer, qual ciclista dopado pelas encostas da etapa "rainha" abaixo. Dopado ou não, o show tem de continuar e quem já não acredita pode mudar de canal, que há muitos canais à solta. E zap-zap, tze-tze, abrrrum, ROM-ROM, a Ascensão.

Mas isso é hoje, e eu estou aqui para recuperar os fragmentos de ontem, já, logo, rápido...E, como sempre, nada desponta. Portanto eu me pauso e longam e n t e. Na mente nada, nem uma mentira. Mintira! Mintira!

Bem podes dizer que é mentira, que mim não tira nada da mente. A verdade, a tal, a suprema ascensão do ser perfeito, o IDEAL sem ser das Avenidas, essa então está descomunalmente longe do meu alcance tacanho.

Ah pois, o filme que consegui ver mas no computador fixo, no AVL ou não sei quê...Antes que me esqueça vou levantar esse tal programa, AVC ou AVL...(não é fácil). Mas vi o "Com os Olhos Bem Fechados", e finalmente revi a Laranja Mecânica. nenhum deles era do J.G. Ballard, como supunha e comecei a ver Crash, esse sim, mas não acabei.

E só não revejo o Mizoguchi "Herói Sacrílego" porque estou aqui. E aqui e agora podia ver, mas prefiro reportar, contar, partilhar...Lá, num sítio o filme farta-se de gaguejar, só no outro fixo dá. Talvez hoje.

Boas coisas de fazer em local resistente ao calor avassalador, africano, de uvas do Douro, interior alentejano e de ananases, como diria o Eça em Lisboa ou de Lisboa. Será verdade que os escritores ainda andam a ver se decifram pela Europa fora o Flaubert para fazer qualquer coisinha? Ou já desistiram, porque no fundo é tudo para vender e as alternativas incrivelmente mais rentáveis abundam. Basta aderir.

Repassado de calor e filmes kubricos, talvez até lúbricos (ou será lubricos, depois do acordo e dos nóbéis?), mas não confirmo nem desmito em abono da mentira, que é de facto a grande verdade, o grande segredinho de polichinelo que uns maduros engraçadinhos tentam esconder dos mais novinhos e inocentes, coitadinhos.

Enfim, países e paisagens. E para isso até os filmes dão a ver. Mesmo o tal de "Com os Olhos Bem fechados".

sexta-feira, 14 de agosto de 2009

Msg de há três dias no Netlog...

...que retirei de lá e ponho aqui. E continuarei, se o futuro ainda existe como tempo (gramáticas...)

  • Cá se be logo e sem falta

    Agora é 6ª, week-end, mas tenho de me reportar a um dia, chamado ontem, a partir de hoje.

    Ora vamos lá então reportar...reportar...mais um esforço, que isto de convocar os ontens no meio da salganhada de quase 61 anos disto sem ter ainda despassarado de vez é obra. Obrigado por tão sensível auto elogio. Bem Haja. Auguri! Auguri!

    É italiano felliniano, mais precisamente da Julieta dos Espíritos. Isto é só retro. Quer dizer Parabéns, que por sua vez quer dizer Mais que bens. Mas pronto: é reportar, é reportar. Ora portanto, "ontem", ...

    Talvez ir pela máscara anti-vírus. Que é uma coisa que eu desejo ter e bem sofisticada. Para evidentemente poder andar à vontade, por entre os vírus que por aí abundam, no meio do trânsito, nos transportes, nos estádios, nos comícios. É a máscara ou o Bicho. Inho-inho, bem à portuguesa, tudo inhinho. Sem esquecer que o inho às vezes fala com um vozeireizão que nem te digo nada. É por causa disso que aquela alforreca que usa uma membrana para andar à vela pelos oceanos foi chamada por holandeses e afins, piratas e flibusteiros, caravela portuguesa. Aparentemente inofensiva mas tremenda quando emitia tentáculos venenosos e à distância.

    Mais reportagem? Uma mascarizinha, é o que é. E de tirar e pôr. Aliás é o que está mais na moda, especialmente na versão au naturel, para dar no telejornal ou no retrato de jornal, formato tanto maior quanto não há nada para dizer e o que é preciso é guito.

  • Belogo e agora

    No dia seguinte, por sinal ontem, quarta, dia de mercúrio para os romanos (e espanhóis, e franceses e etc.) mas não para muitos outros, também se deve ter passado muita coisa própria para ser apontada, mas não dei por nada. Será do vírus?

    Gripe A. A de anarquia que promete gerar, sem dúvida. Aí está a terminologia certinha em ponto. Lá que há A há, reitero veemente. E A de Agora. Gripe A A. Se conseguir mais um Azinho, dá uma estrondosa gargalhada A A A!

    Os Pasteurs de agora andam às aranhas, provavelmente mais a pensar que são eles a poder apanhar com um A nas ventas e mais as famílias deles, se mexem muito no "bicho" A. Com pinças, e lá terão de mostrar trabalho, atér porque os mamões do cacau, porque epidemias e doenças são sempre uma mina para quem vive de cacaus, vão apertar com os Pasteurs.

    Mas o que é mais novo nisto é o papel da dita comunicação social. Claro que a primeira ideia é conter o pânico. Todos estão em uníssono, ensurdecedoramente a conter o PÂNICO...O problema é que a única maneira eficaz era o Silêncio, mas a Comunicação Social está desencabrestada, desenbolada, automática, instantânea e imparável. E ai dos "forcados" que a sós ou em grupo se vá pôr na frente da máquina dos media...Que mexe com os cacaus e tudo o mais. Aqui é que o vírus A, tem a anarquia garantida, a instalar-se. Independentemente de casos, fatalidades, dnas, rnas, aí vai vencer galopante porque a máquina tem que dar notícias e, já se sabe, todas as notícias são más notícias. Péssimas e a piorar a cada dia que passa.

  • Belogo já já

    Dia Hoje, 12/8/2009

    Ontem, é que foi o dia das bandeiras: a monarquia subiu ao mastro na CML, descendo a bandeira dos corvos. Ajaezada triangularmente a branco e negro. Nos diários, claro. Ou a nacional, tão conhecida por andar a desbotar nas janelas em sinal de auto-estima nacional bolística galáctica...Não sei.

    Em casa, à tarde, o filme que mais usa as bandeiras e bandeirolas, e cheias de vento, e a espadanar em alta velocidade, enfiada nas costas das protecções dos cavaleiros: A Sombra do Guerreiro, de Kurosawa.

    E que quer isto dizer? Um dia embadeirado, abandeirado? A dar a dar...talvez sim, dará. Bando, banda. Bandos à banda. Bandas e bandas. Coretos e jazz. Agora festivais, coretos de tubos de aço desmontáveis, tires de som, cablagens, altos berros pela vizinhança fora.

    "A palavra bandeira é originária do gótico "bandvja" e do latim "bandaria". Os sinônimos para essa palavra são: auriflama, balsa, bandeirola, emblema, estandarte, flâmula, galhardete, gonfalão, guião, insígnia, lábaro, pálio, pavilhão, pendão".

    Portanto, lá vou de porta-bandeiras, inflamado, galhardo. E que o Blog seja um pavilhão, em toda a acepção da palavra.